Mais non, mais non, je ne poète pas plus haut que mon luth, il faut prendre ce titre dans son sens caché: l’enthousiasme. Car en effet (les hellénistes lèvent un sourcil), c’est bien de cela qu’il s’agit ! Pas au sens platonicien (j’ai le sentiment que l’essentiel de mon inspiration vient souvent de quelque chose ou quelqu’un sur ce cher plancher des vaches), mais au sens moderne. S’il faut assurément de l’inspiration pour écrire, il faut aussi de la gnaque (orthographe incertaine), du punch, des vibes – tout un tas de mots pourris qui ne valent pas un kopeck face à l’enthousiasme.
L’enthousiasme, vaccin contre la paresse, anticorps contre la lassitude, phagocyte des idées noires, vitamine anti-stress… C’est vachement mieux (et moins cher) qu’une cure de remise en forme. Et en plus, c’est contagieux.
Tentons aujourd’hui de démontrer les capacités de propagation de l’enthousiasme par voie électronique…