Archives mensuelles : mars 2005

Poupée

Samedi 5 mars, 15:40, je mate un peu le tennis et les doigts me démangent… Back on the blog, avec une idée en tête. Je ne sais pas combien de temps il me faudra pour l’écrire, je crains de ne pas l’achever ce week-end… On verra bien.

Samedi 26 mars, 14:50, je reprends le flambeau de cette histoire… Mince alors, je pensais avoir écrit plus que ça ! Pourvu que je l’achève vite…

Dimanche… L’inspiration me fuit ! C’est super dur de reprendre un truc qu’on a commencé 3 semaines plus tôt. Et puis mon histoire manque de chocolat et de soleil. Noël en Espagne, Pâques au Rabanne ! (désolé)

Lundi, j’ai trop mangé, j’ai trop bu (mais non, rassurez-vous – *hips !*), mais une âme charitable m’offre un peu de son inspiration (mille mercis BabyDoll) et je remets l’intrigue sur de bons rails. Mais il est tard, je crois que le dénouement sera pour demain ! :-\

Mardi 9h, avant de bosser il faut que je boucle l’affaire; il ne me reste que quelques phrases à peaufiner. Voilà, c’est en ligne, je referai une relecture dès que possible… En tout cas c’est loin d’être parfait, je ne suis pas vraiment satisfait, mais c’est le prix à payer quand on traîne autant ! J’espère quand même que ce nouvel essai vous plaira.
Pour info, l’autre idée que j’avais démarrée est plus ou moins abandonnée, je la trouve stupide… Il se peut donc qu’au prochain round Rhacca et Eirko reprennent du service 😉 Patience…

(Bien plus tard : cette nouvelle, rebaptisée “Poupée”, est la moins réussie de ce blog ; à l’occasion, je la réécrirai. J’y tiens, ne serait-ce qu’en hommage à mes sources d’inspiration…) Continuer la lecture

Le temps est un visage sur l’eau…

Pfouuuulàlà… Encore un week-end de dingue ! Pas une heure de libre pour écrire, les mails en retard s'empilent dans mon Outlook et mes idées tournent en boucle dans ma tête. Tout ça pour dire que je n'oublie pas mon blog, et que non, je ne posterai pas juste pour souhaiter des anniversaires en prose… J'ai deux "écrits" (trop courts pour être des nouvelles, trop peu aboutis pour mériter le titre "d'histoires") en cours de réalisation; si je pouvais passer une nuit ou deux à taper sur mon clavier, ils seraient finis depuis belle lurette, mais voilà…

Ca me gonfle de voir ces idées tournicoter dans mon crâne pendant des semaines sans que je puisse les exprimer, alors parlons d'autre chose: j'ai commandé mon nouvel écran, wouhou ! Un LCD Dell 24" ! Ca va être un de ces pieds… Normalement je devrais commander le reste de l'ordi ce week-end mais aujourd'hui c'est trop speed ! 🙁 Demain j'espère…

Pour finir, je résume un débat entamé avec un ami cette semaine: est-il nécessaire de "s'impliquer" dans une oeuvre d'art (on pourrait dire de même pour une relation humaine, mais faisons simple) pour s'y attacher, de faire un "effort" (de compréhension, par exemple) pour ressentir plus d'émotions ? Quelques exemples: les effets spéciaux des "vieux" films (les premiers Star Wars ? ;-)) étaient loin d'être réalistes, il fallait donc "se plonger" dans l'ambiance et "compléter" mentalement les lacunes visuelles pour devenir fan… Evidemment à l'époque on ne connaissait pas mieux ! Pareil pour les jeux vidéo: on savait être dingue d'un Pong ou d'un Zelda 1 sans s'arrêter aux limitations techniques, alors que si les jeux d'aujourd'hui sont tous bluffants de réalisme, bien peu sont aussi novateurs et "addictifs"…

De même pour les livres: un auteur doté d'un style riche (mais de qualité, bien sûr) saura envoûter ses lecteurs, car ceux-ci devront faire un effort "d'imprégnation" et d'imagination plus important… Idem pour une musique plus sophistiquée, élitiste ou ésotérique, qui passionnera et marquera ses auditeurs bien davantage qu'un tube "commercial".

L'explication qui me vient à l'esprit est la suivante: lorsque nous faisons un effort d'attention, de compréhension ou d'ouverture, nous baissons nos "défenses émotionnelles" et sommes plus réceptifs… Si une émotion nous atteint à ce moment, elle risque de laisser plus de traces, de s'ancrer dans notre mémoire. Ca pourrait expliquer aussi pourquoi l'on se souvient souvent d'un film ou d'un livre qui nous avait heurté ou bouleversé dans notre enfance: nous n'avions pas les mêmes "barrières" qu'à l'âge adulte…

Mais bon, c'est juste mon avis, si vous avez d'autres idées ça m'intéresse ! (c'est précisément pour ça que j'en parle ici)
J'aimerais, quand j'écris quelque chose, que cela engendre des émotions, évoque quelque chose, captive l'attention du lecteur, et l'alchimie entre une oeuvre (si petite soit-elle) et son spectateur m'intrigue.

Voilà, j'arrête là mes bavardages (écrits par morceaux sur plusieurs heures, c'est dire si je suis occupé…) et je croise les orteils pour avoir un peu de temps demain pour écrire ! Ciao !